Nous nous étions rendu compte que notre feu de mouillage ne fonctionnait plus. Pour aller voir quel était le problème, il fallait monter en haut du mat. Pour ce faire il nous fallait une chaise de mat, quelqu’un pour hisser Pascal en haut (les bras de Céline, bien que musclés, ne suffisaient pas), et enfin être au port pour que le bateau ne bouge pas. Tout était réuni ce jour-ci grâce à Philippe, qui nous a prêté sa chaise de mât et qui a aidé Céline à hisser Pascal. Le problème venait simplement d’un faux contact, nous avons donc pu récupérer notre feu de mouillage ! Merci Philippe ! Nous hésitons à partir le soir car le ciel est devenu menaçant, le vent s’est levé et nous avons craint que le coup de vent, annoncé la veille et que l’on attendait toujours, n’arrive avec 24h de retard. En fait, au bout de deux heures, tout s’est dégagé et nous avons donc quitté le port afin d’aller mouiller à quelques milles de St Florent, dans l’anse de Fornali, à côté de Philippe. Très beau mouillage, très calme.